Apres la presse francaise, c'est au tour de la presse suisse (Le Temps.ch) de titrer:
"Sebastien Buemi sur le depart"
puis de changer son titre a 8 heures ce matin en:
"Sebastien Buemi devra probablement convaincre une nouvelle ecurie a l'engager"
Il ne semble pas excessif de qualifier le début de saison de Sébastien Buemi «d’historique». Pour la première fois depuis Clay Regazzoni en 1970, un pilote suisse est parvenu à marquer des points dès son premier Grand Prix. C’était en mars, à Melbourne. En Chine, trois semaines plus tard, le Vaudois s’offrait un point de plus malgré des conditions pluvieuses et très difficiles. Une étoile était née.
Depuis, Sébastien Buemi n’a pu faire mieux qu’une modeste 15e place, en Turquie. Au fil des épreuves, les autres écuries ont progressé davantage que sa Toro Rosso STR4, ne permettant pas au Vaudois de batailler pour les points.
Désormais, Sébastien Buemi fait face à un défi plus important encore que celui de terminer dans les huit premiers, puisqu’il s’agit pour lui d’effectuer le bon choix pour la suite de sa carrière. Jusqu’ici, il a été emmené vers la F1 par la filière «Red Bull», qui lui a permis d’apprendre son métier dans différentes formules de promotion, en Formule 3 puis en GP2.
Arrivé en Formule 1, il pouvait sans doute espérer suivre les traces de son prédécesseur, Sebastian Vettel, qui, après avoir disputé un peu plus d’une saison chez Toro Rosso, a été promu chez Red Bull, ce qui lui permet d’occuper actuellement la deuxième place du championnat du monde.Publicité
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Les espoirs de suivre cet exemple semblent pourtant s’amenuiser au fil des excellents résultats récoltés par Mark Webber. L’hiver dernier, l’accident de vélo de ce dernier, en Tasmanie – il s’est brisé la jambe – semblait compromettre sérieusement sa carrière en F1. Mais cette saison, l’Australien excelle, et sa victoire d’hier renforce encore sa position chez Red Bull. Personne n’imagine plus l’écurie anglaise remercier celui qui a déjà marqué plus de 45 points en neuf Grands Prix.
Du coup, Sébastien Buemi n’a d’autre alternative que de chercher un autre volant pour la saison prochaine ou de rester chez Toro Rosso – il semble en effet probable que le talent, la motivation et l’enthousiasme du Vaudois lui vaudront la reconduction de son contrat pour la saison prochaine.
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Il ne semble pas excessif de qualifier le début de saison de Sébastien Buemi «d’historique». Pour la première fois depuis Clay Regazzoni en 1970, un pilote suisse est parvenu à marquer des points dès son premier Grand Prix. C’était en mars, à Melbourne. En Chine, trois semaines plus tard, le Vaudois s’offrait un point de plus malgré des conditions pluvieuses et très difficiles. Une étoile était née.
Depuis, Sébastien Buemi n’a pu faire mieux qu’une modeste 15e place, en Turquie. Au fil des épreuves, les autres écuries ont progressé davantage que sa Toro Rosso STR4, ne permettant pas au Vaudois de batailler pour les points.
Désormais, Sébastien Buemi fait face à un défi plus important encore que celui de terminer dans les huit premiers, puisqu’il s’agit pour lui d’effectuer le bon choix pour la suite de sa carrière. Jusqu’ici, il a été emmené vers la F1 par la filière «Red Bull», qui lui a permis d’apprendre son métier dans différentes formules de promotion, en Formule 3 puis en GP2.
Arrivé en Formule 1, il pouvait sans doute espérer suivre les traces de son prédécesseur, Sebastian Vettel, qui, après avoir disputé un peu plus d’une saison chez Toro Rosso, a été promu chez Red Bull, ce qui lui permet d’occuper actuellement la deuxième place du championnat du monde.Publicité
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Les espoirs de suivre cet exemple semblent pourtant s’amenuiser au fil des excellents résultats récoltés par Mark Webber. L’hiver dernier, l’accident de vélo de ce dernier, en Tasmanie – il s’est brisé la jambe – semblait compromettre sérieusement sa carrière en F1. Mais cette saison, l’Australien excelle, et sa victoire d’hier renforce encore sa position chez Red Bull. Personne n’imagine plus l’écurie anglaise remercier celui qui a déjà marqué plus de 45 points en neuf Grands Prix.
Du coup, Sébastien Buemi n’a d’autre alternative que de chercher un autre volant pour la saison prochaine ou de rester chez Toro Rosso – il semble en effet probable que le talent, la motivation et l’enthousiasme du Vaudois lui vaudront la reconduction de son contrat pour la saison prochaine.