Merci a Christian Desclouds (Clouclou) pour ce message tres interessant:
"Je serai à Milton Keynes, le mardi (avant hier), pour me préparer en vue de la course à Monza sur le simulateur - Jaime commencera la matinée et je le ferai à mon tour l’après-midi. L’année dernière il y avait trois jours d’essais à Monza, alors la simulation sera notre seule chance, je serai d’ailleurs sur une de ces machines pour préparer le reste des GP à Singapour et à Suzuka. Le fonctionnement est très simple, nous sommes assis dans un cockpit comme sur une F1, avec un énorme écran qui offre une vision réaliste. La voiture réagit exactement comme en vrai. On peut travailler la monoplace comme sur un GP de course. il suffit juste de communiquer avec les ingénieurs qui règlent le simulateur au fur et à mesure des tours, comme changer le poids de la direction par exemple. Et puisque ce n’est pas réel, vous pouvez vraiment attaquer dur, allant jusqu’à la limite et demander beaucoup à la monoplace, car lors d’un accident, vous ne pouvez pas vous blesser. Même si vous sentez un truc bizarre quand vous allez en dehors de la piste ! Dans la première séance de la semaine prochaine, le simulateur sera mis en place pour répliquer Monza, donc en plus d’apprendre la piste, un set-up va être mis en place pour débuter le week-end qui, dans ce cas, signifie des appuis aérodynamiques minimaux pour faire face à la pointe de vitesse énorme de la piste. C’est particulièrement utile, car Monza est la seule piste qui requiert ces types d’appuis et la seule à avoir une telle spécificité dans la saison. Cela signifie que la voiture est très légère au freinage et il faut être prudent lors des ré-accélération. Vous pouvez simuler ces conditions et avoir une idée avant de se rendre sur la piste "
"Je serai à Milton Keynes, le mardi (avant hier), pour me préparer en vue de la course à Monza sur le simulateur - Jaime commencera la matinée et je le ferai à mon tour l’après-midi. L’année dernière il y avait trois jours d’essais à Monza, alors la simulation sera notre seule chance, je serai d’ailleurs sur une de ces machines pour préparer le reste des GP à Singapour et à Suzuka. Le fonctionnement est très simple, nous sommes assis dans un cockpit comme sur une F1, avec un énorme écran qui offre une vision réaliste. La voiture réagit exactement comme en vrai. On peut travailler la monoplace comme sur un GP de course. il suffit juste de communiquer avec les ingénieurs qui règlent le simulateur au fur et à mesure des tours, comme changer le poids de la direction par exemple. Et puisque ce n’est pas réel, vous pouvez vraiment attaquer dur, allant jusqu’à la limite et demander beaucoup à la monoplace, car lors d’un accident, vous ne pouvez pas vous blesser. Même si vous sentez un truc bizarre quand vous allez en dehors de la piste ! Dans la première séance de la semaine prochaine, le simulateur sera mis en place pour répliquer Monza, donc en plus d’apprendre la piste, un set-up va être mis en place pour débuter le week-end qui, dans ce cas, signifie des appuis aérodynamiques minimaux pour faire face à la pointe de vitesse énorme de la piste. C’est particulièrement utile, car Monza est la seule piste qui requiert ces types d’appuis et la seule à avoir une telle spécificité dans la saison. Cela signifie que la voiture est très légère au freinage et il faut être prudent lors des ré-accélération. Vous pouvez simuler ces conditions et avoir une idée avant de se rendre sur la piste "