Source: toilef1.com
Après Charles Pic, annoncé comme titulaire chez Marussia au soir du Grand Prix du Brésil, et Romain Grosjean, confirmé aux côtés de Kimi Räikkönen chez Lotus GP pour 2012 (ce que ToileF1 vous a révélé quatre jours avant le communiqué officiel), un troisième pilote français pourrait être promu en F1 dans les semaines qui viennent.
Pas Jean-Eric Vergne, pressenti chez Toro Rosso mais plutôt en tant que troisième homme avec la possibilité de rouler aux essais libres du vendredi, mais bien celui qu’on n’attendait pas, Jules Bianchi !
Le test driver de la Scuderia Ferrari pourrait en effet, selon nos sources helvétiques, prendre la place de Kamui Kobayashi chez Sauber. Le contrat du pilote japonais n’est pas bétonné et des résultats en dents de scie depuis l’été (lorsque Sauber avait exercé une option en faveur de l’écurie pour le conserver en 2012) n’ont guère plaidé en sa faveur. Un intense lobbying de Ferrari auprès de Sauber irait dans le sens d’une titularisation de Jules Bianchi, ce qui permettrait de le comparer directement à Sergio Pérez en conditions de course. Rappelons que le Français s’était montré plus rapide que le Mexicain quand ils avaient été confrontés à bord d’une Ferrari d’il y a deux ans en essais privés au mois de septembre.
Les responsables de Ferrari veulent en avoir le cœur net avant de désigner le successeur de Felipe Massa dans la Scuderia pour 2013 et cela expliquerait que Jules reçoive sa chance. On sait que l’écurie Sauber est très proche, politiquement et commercialement, de son fournisseur de moteur : elle a récemment claqué la porte de la FOTA, dans la foulée de la Scuderia, et le principal sponsor des rouges – la banque Santander – possède d’énormes intérêts au Mexique, le pays qui soutient le team suisse via les sociétés de Carlos Slim. Les relations amicales entretenues de longue date entre Peter Sauber et Jean Todt peuvent aussi peser dans la balance, puisque que Jules Bianchi est managé par le fils du président de la FIA. Encore un pilote français en F1 ? Jamais deux sans trois !
Après Charles Pic, annoncé comme titulaire chez Marussia au soir du Grand Prix du Brésil, et Romain Grosjean, confirmé aux côtés de Kimi Räikkönen chez Lotus GP pour 2012 (ce que ToileF1 vous a révélé quatre jours avant le communiqué officiel), un troisième pilote français pourrait être promu en F1 dans les semaines qui viennent.
Pas Jean-Eric Vergne, pressenti chez Toro Rosso mais plutôt en tant que troisième homme avec la possibilité de rouler aux essais libres du vendredi, mais bien celui qu’on n’attendait pas, Jules Bianchi !
Le test driver de la Scuderia Ferrari pourrait en effet, selon nos sources helvétiques, prendre la place de Kamui Kobayashi chez Sauber. Le contrat du pilote japonais n’est pas bétonné et des résultats en dents de scie depuis l’été (lorsque Sauber avait exercé une option en faveur de l’écurie pour le conserver en 2012) n’ont guère plaidé en sa faveur. Un intense lobbying de Ferrari auprès de Sauber irait dans le sens d’une titularisation de Jules Bianchi, ce qui permettrait de le comparer directement à Sergio Pérez en conditions de course. Rappelons que le Français s’était montré plus rapide que le Mexicain quand ils avaient été confrontés à bord d’une Ferrari d’il y a deux ans en essais privés au mois de septembre.
Les responsables de Ferrari veulent en avoir le cœur net avant de désigner le successeur de Felipe Massa dans la Scuderia pour 2013 et cela expliquerait que Jules reçoive sa chance. On sait que l’écurie Sauber est très proche, politiquement et commercialement, de son fournisseur de moteur : elle a récemment claqué la porte de la FOTA, dans la foulée de la Scuderia, et le principal sponsor des rouges – la banque Santander – possède d’énormes intérêts au Mexique, le pays qui soutient le team suisse via les sociétés de Carlos Slim. Les relations amicales entretenues de longue date entre Peter Sauber et Jean Todt peuvent aussi peser dans la balance, puisque que Jules Bianchi est managé par le fils du président de la FIA. Encore un pilote français en F1 ? Jamais deux sans trois !