Sebastien Bourdais n’était que deuxième sur la grille de départ de la première course à cause d’une erreur en qualifications. Il s’est emparé de la tête avant le premier virage et il l’a conservée jusqu’au bout.
« J’ai été un peu surpris que la pole position soit sur la gauche de la piste » déclarait Bourdais après sa victoire. « Mais cela m’a permis de prendre un très bon départ et nous sommes arrivés cote à cote au bout de la ligne droite. J’étais à l’intérieur, j’ai pu prendre la tête et m’échapper. Mon avance m’a permis de compenser un pit-stop un peu moyen. J’ai été très prudent dans l’entrée des stands, puis dans mon tour de sortie. »
« C’était très serré lors du retour en piste de Guerrieri, mais je suis parvenu à conserver les commandes. Il m’a fallu ensuite gérer un peu de trafic et notamment le dépassement sur Atletico Madrid. »
Guerrieri est revenu dans ses roues dans le dernier tour : « La fin de course a été disputée. J’ai perdu le point de corde dans la Chicane Ascari et perdu près d’une seconde. Esteban est alors revenu et j’ai craint qu’il active le push to pass pour me doubler. Heureusement, j’avais suffisamment d’avance pour couper la ligne en vainqueur. »
C’est surtout dans la deuxième course que Bourdais a impressionné. En raison de la grille totalement inversée, sa victoire de la matinée l’a placé à la dernière place au départ. Il a enchaîné les dépassements pour terminer à la troisième place !
« Nous avons réalisé un week-end sans erreur » souligne le Manceau. « C’est ce qui nous a permis de gagner après une victoire le matin et une 3e place l’après-midi en partant dernier. J’aurais signé des deux mains pour un tel résultat. »
« Je suis très heureux pour l’équipe qui a été reprise récemment par Anthony Reid et qui a du déménager. C’est une période assez difficile pour le team et notre succès arrive à point nommé pour récompenser le travail de tous. »
En deux week-ends en Superleague, Bourdais compte deux victoires, à chaque fois dans les courses les plus importantes du week-end : la super-finale à Estoril et la première course à Monza, la plus significative puisqu’il n’y a pas de grille inversée. Il n’y avait pas de course finale en Italie.
Vincent Lalanne-Sicaud
source go-f1
« J’ai été un peu surpris que la pole position soit sur la gauche de la piste » déclarait Bourdais après sa victoire. « Mais cela m’a permis de prendre un très bon départ et nous sommes arrivés cote à cote au bout de la ligne droite. J’étais à l’intérieur, j’ai pu prendre la tête et m’échapper. Mon avance m’a permis de compenser un pit-stop un peu moyen. J’ai été très prudent dans l’entrée des stands, puis dans mon tour de sortie. »
« C’était très serré lors du retour en piste de Guerrieri, mais je suis parvenu à conserver les commandes. Il m’a fallu ensuite gérer un peu de trafic et notamment le dépassement sur Atletico Madrid. »
Guerrieri est revenu dans ses roues dans le dernier tour : « La fin de course a été disputée. J’ai perdu le point de corde dans la Chicane Ascari et perdu près d’une seconde. Esteban est alors revenu et j’ai craint qu’il active le push to pass pour me doubler. Heureusement, j’avais suffisamment d’avance pour couper la ligne en vainqueur. »
C’est surtout dans la deuxième course que Bourdais a impressionné. En raison de la grille totalement inversée, sa victoire de la matinée l’a placé à la dernière place au départ. Il a enchaîné les dépassements pour terminer à la troisième place !
« Nous avons réalisé un week-end sans erreur » souligne le Manceau. « C’est ce qui nous a permis de gagner après une victoire le matin et une 3e place l’après-midi en partant dernier. J’aurais signé des deux mains pour un tel résultat. »
« Je suis très heureux pour l’équipe qui a été reprise récemment par Anthony Reid et qui a du déménager. C’est une période assez difficile pour le team et notre succès arrive à point nommé pour récompenser le travail de tous. »
En deux week-ends en Superleague, Bourdais compte deux victoires, à chaque fois dans les courses les plus importantes du week-end : la super-finale à Estoril et la première course à Monza, la plus significative puisqu’il n’y a pas de grille inversée. Il n’y avait pas de course finale en Italie.
Vincent Lalanne-Sicaud
source go-f1
