source espn f1
Sébastien Buemi entame cette année sa troisième saison en Formule 1 comme titulaire. Le Suisse est actuellement le pilote ayant le plus roulé pour la Scuderia Toro Rosso, avec qui sa carrière évolue depuis 2009.
Nouvelle saison, nouveaux défis. Buemi a répondu aux questions d'ESPNF1 dimanche matin, quelques heures avant le départ du Grand Prix d'Australie dont il figure à la 8e place du classement.*
La STR6 est-elle vraiment une Wunder Auto ?
Certainement pas. Je dirais que nous sommes quelque part vers le milieu du plateau. Il nous faudra travailler fort pour remonter le classement et pour se battre contre les équipes qui tenteront de faire aussi bien que nous.
Quelle place Toro Rosso devrait-elle être en mesure d'atteindre lors des qualifications cette année ?
Débuter par une 10e place à Melbourne a été un énorme boost car nous n'avions pas rejoint le Q3 depuis 2009. Espérons qu'un tel résultat sera la norme cette saison. Toutefois, le circuit de l'Albert Park n'est pas très représentatif des véritables circuits permanents, alors il est encore trop tôt pour faire des prédictions.
Quels sont les objectifs de votre 3e saison en F1 ?
Les objectifs sont toujours les mêmes, peu importe la discipline : tenter de gagner. Mais avant tout, il faut faire son maximum avec l'équipement à sa disposition. J'espère que notre saison sera beaucoup plus solide que l'an dernier et que nous récolterons beaucoup de points.
Est-ce que la pression est plus forte dans une écurie appartenant à Red Bull ?
Je ne pense pas. Quand vous êtes en F1, au sommet du sport automobile, il y a de la pression où que vous soyez dans la voie des stands. Si vous êtes dans la meilleure équipe, alors la pression c'est de demeurer au top. Si vous êtes ailleurs, la pression c'est de faire mieux. En fait, Red Bull offre un excellent soutien et a joué un grand rôle dans ma carrière.
Combien d'arrêts aux stands prévoyez-vous au cours des premières manches ?
Plus que l'an dernier, mais ça changera beaucoup selon le circuit.
Vous avez brièvement mené le GP du Canada en 2010, où l'usure des pneus a été un facteur déterminant. Faut-il s'attendre à de telles surprises cette année avec Pirelli ?
Pirelli a reçu le mandat de produire des pneus dont les caractéristiques sont très différentes de ce que nous connaissions auparavant. Je ne sais pas s'il y aura des surprises, mais l'usure des gommes va jouer un rôle significatif au niveau des résultats.
Buemi a battu les deux Force India en Australie
© Sutton Images
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L'aileron arrière ajustable : un bon outil ou un outil dangereux ?
Nous sommes en F1, elle est reconnue pour ses innovations techniques. Je pense qu'il est bien de continuellement arriver avec de nouvelles idées, surtout si elles améliorent le spectacle. Je ne crois pas que l'aileron arrière soit dangereux.
Il faut toujours battre son coéquipier. Quelqu'un d'autre en particulier ?
J'imagine que nous nous battrons avec nos rivaux habituels, comme Force India et peut-être Williams. Sauber aussi, j'espère.
Habitez-vous toujours à Bahreïn ? Le GP là-bas devrait-il avoir lieu en 2011 ou être reporté à l'année prochaine ?
Je vis à Monaco maintenant. Je ne suis pas un politicien, alors je vais laisser cette décision aux gens dont c'est le travail.
Avec Jérôme d'Ambrosio, êtes-vous un représentant de la langue française pour les nombreux fans francophones de la F1 ?
Je fais des interviews dans un grand nombre de langues. En français, en anglais, en italien et en allemand. Mais le français est ma langue maternelle, alors elle sera toujours mon premier choix.
Sébastien Buemi entame cette année sa troisième saison en Formule 1 comme titulaire. Le Suisse est actuellement le pilote ayant le plus roulé pour la Scuderia Toro Rosso, avec qui sa carrière évolue depuis 2009.
Nouvelle saison, nouveaux défis. Buemi a répondu aux questions d'ESPNF1 dimanche matin, quelques heures avant le départ du Grand Prix d'Australie dont il figure à la 8e place du classement.*
La STR6 est-elle vraiment une Wunder Auto ?
Certainement pas. Je dirais que nous sommes quelque part vers le milieu du plateau. Il nous faudra travailler fort pour remonter le classement et pour se battre contre les équipes qui tenteront de faire aussi bien que nous.
Quelle place Toro Rosso devrait-elle être en mesure d'atteindre lors des qualifications cette année ?
Débuter par une 10e place à Melbourne a été un énorme boost car nous n'avions pas rejoint le Q3 depuis 2009. Espérons qu'un tel résultat sera la norme cette saison. Toutefois, le circuit de l'Albert Park n'est pas très représentatif des véritables circuits permanents, alors il est encore trop tôt pour faire des prédictions.
Quels sont les objectifs de votre 3e saison en F1 ?
Les objectifs sont toujours les mêmes, peu importe la discipline : tenter de gagner. Mais avant tout, il faut faire son maximum avec l'équipement à sa disposition. J'espère que notre saison sera beaucoup plus solide que l'an dernier et que nous récolterons beaucoup de points.
Est-ce que la pression est plus forte dans une écurie appartenant à Red Bull ?
Je ne pense pas. Quand vous êtes en F1, au sommet du sport automobile, il y a de la pression où que vous soyez dans la voie des stands. Si vous êtes dans la meilleure équipe, alors la pression c'est de demeurer au top. Si vous êtes ailleurs, la pression c'est de faire mieux. En fait, Red Bull offre un excellent soutien et a joué un grand rôle dans ma carrière.
Combien d'arrêts aux stands prévoyez-vous au cours des premières manches ?
Plus que l'an dernier, mais ça changera beaucoup selon le circuit.
Vous avez brièvement mené le GP du Canada en 2010, où l'usure des pneus a été un facteur déterminant. Faut-il s'attendre à de telles surprises cette année avec Pirelli ?
Pirelli a reçu le mandat de produire des pneus dont les caractéristiques sont très différentes de ce que nous connaissions auparavant. Je ne sais pas s'il y aura des surprises, mais l'usure des gommes va jouer un rôle significatif au niveau des résultats.
Buemi a battu les deux Force India en Australie
© Sutton Images
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L'aileron arrière ajustable : un bon outil ou un outil dangereux ?
Nous sommes en F1, elle est reconnue pour ses innovations techniques. Je pense qu'il est bien de continuellement arriver avec de nouvelles idées, surtout si elles améliorent le spectacle. Je ne crois pas que l'aileron arrière soit dangereux.
Il faut toujours battre son coéquipier. Quelqu'un d'autre en particulier ?
J'imagine que nous nous battrons avec nos rivaux habituels, comme Force India et peut-être Williams. Sauber aussi, j'espère.
Habitez-vous toujours à Bahreïn ? Le GP là-bas devrait-il avoir lieu en 2011 ou être reporté à l'année prochaine ?
Je vis à Monaco maintenant. Je ne suis pas un politicien, alors je vais laisser cette décision aux gens dont c'est le travail.
Avec Jérôme d'Ambrosio, êtes-vous un représentant de la langue française pour les nombreux fans francophones de la F1 ?
Je fais des interviews dans un grand nombre de langues. En français, en anglais, en italien et en allemand. Mais le français est ma langue maternelle, alors elle sera toujours mon premier choix.
